« Si tu ne vas pas dans les bois, jamais rien n’arrivera, jamais ta vie ne commencera. Va dans les bois, va. »

Femmes qui courent avec les Loups, de Clarissa Pinkola Estés

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« Elle devrait savoir partir, s’arracher. C’est plus facile de rester : peur, lapin figé. Le cœur qui bat et la gorge serrée, […] cette veille de départ dure des jours et des semaines, le départ est désir et pas encore décision. »

L’Arrachée Belle, de Lou Darsan

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Une femme dans une petite maison de bois, enfermée dans sa routine et ses souvenirs de fillette. Elle s’éteint peu à peu et ressent au plus profond d’elle une sensation pesante, comme une urgence.

Partir s'échapper pour créer de nouveaux souvenirs et continuer de s’épanouir.

Cette maison est imprégnée d’une partie de sa vie et des générations passées. Il est difficile de partir sans détour ; le doute et les peurs s’installent.

Les lumières de son quotidien, comme des portes entrouvertes sur ses propres ressources, l’accompagneront dans cette tourmente. La lumière nous habite et détient sa place à chaque moment de notre vie.

Un voyage dansé tout en poésie. Une reconnexion avec les siens et un retour à soi.

Veiller à ne pas éteindre sa flamme, sa lumière intérieure.

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Soutiens : FDVA (SDJES de l'Ardèche), Ville de Lyon (fond d’urgence culturel reversé à Mylène Mey),

MJC Pays de l'Herbasse (26), Cultures! (07), Les Vertébrées (26),

MPT Chadrac et l'AGORA (43).

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